Sharing the stories from the world’s largest solar challenge

Travel 3,000 kilometres on the power of the sun across Australia’s desert interior. Meet time windows, conserve energy, design and build a solar electric car a mainstream market will actually want to drive – they call it a challenge for a reason! That’s what the Bridgestone World Solar Challenge is all about.  

A challenge for the competing teams, travelling down under from across the globe. A challenge for the organisers, the South Australian Tourism Commission. Did we mention this event is BIG. And a challenge for the communications team, Firstpoint Marketing & Communications. One we willingly accept, again. This will be the fifth time we’ve taken this challenge and it’s a privilege to tell the stories of a generation looking for a sustainable way to travel that is not at the expense of the planet.

200+ media took the challenge with us in 2017. An audience of millions tuned in from around the world. We pitched, we explained, we shared, we connected, we inspired. We told an often complex story in a way that everyday people could understand. Because to effect real change, you have to bring people on the journey.

BWSC19 Event launch - Event Director Chris Selwood, St Francis Primary School & 'finish line' fountain Victoria Square Adelaide

The stage is set for an incredible #BWSC19 adventure. Follow us as we bring the stories to the world’s media.

Read the launch press release: BWSC19 CHARGING THE FUTURE Final

See what happened in 2017 here

4 astuces pour construire votre marque personnelle en ligne

Il est essentiel aujourd’hui de construire votre marque personnelle en ligne. LinkedIn est le meilleur endroit pour commencer et la première étape est d’optimiser votre profil.

Voici quelques conseils sur ce que vous devez faire pour construire la base solide de votre présence numérique. Suivez ces conseils et vous allez stimuler votre carrière et booster votre réseau de contacts. Il sera aussi plus facile de vous retrouver dans les recherches Google et LinkedIn.

1. Avoir un plan

Vous préparez un plan pour la plupart de vos projets en affaires. Pourquoi serait-ce différent quand il s’agit de vous ? Vous devez avoir votre plan promotionnel personnel.

Considérer votre image personnelle de la même façon qu’une grande marque travaille sa gamme de produits.

Pour construire une marque personnelle, vous devez savoir où vous allez vous positionner. Tout comme un produit, vous devez décider où vous vous situez par rapport à votre marché et à votre concurrence. Vous devez considérer votre image personnelle de la même façon qu’une grande marque travaille sa gamme de produits.

  • Utilisez le même message tout le temps. Votre titre et tout le contenu de votre profile LinkedIn doit refléter ce message.
  • Utilisez les mêmes mots clés partout dans votre profil.
  • Utilisez des images similaires sur LinkedIn, votre blog et votre profil Twitter.
  • Utilisez une photo professionnelle de votre visage et une image de bannière en accord avec votre positionnement.
  • Soyez cohérent.

N’essayez pas d’être malin ou impertinent, vous n’avez pas encore construit une image de marque assez forte. Si vous gérez une chaîne de cafés, pas de problème d’afficher une photo de vous assis devant un café et un croissant. Si vous êtes professeur de surf, une photo sur la plage passe. Mais si vous êtes un chef d’entreprise (ou voulez le devenir) rester conservateur. Porter une tenue d’affaires et prenez la photo dans un endroit neutre.

  • N’oubliez pas que vous êtes dans un contexte professionnel.

2. Assurez-vous que votre profil LinkedIn est complet.

Votre profil est votre vitrine, ne le laissez pas à moitié vide.

Vous ne pouvez faire une première impression qu’une fois.

Quand vous vous présentez à quelqu’un dans la vraie vie, que dites-vous ? Vous ne dites pas simplement à la personne devant vous comment vous vous appelez et votre titre. Vous leur parlez de ce que vous faites ou de ce que vous avez fait dans le passé. Vous pourriez parler de ce qui est important pour vous ou pour votre entreprise. Sans ces échanges, la personne va passer à quelqu’un qui est plus intéressant ou qui lui semble plus pertinent pour eux.

Vous devrez faire la même chose sur votre profil LinkedIn. C’est votre présentation en ligne auprès de personnes que vous n’avez pas encore rencontrées. C’est votre première impression numérique.

  • Complétez toutes les sections possibles.
  • Remplissez votre profil avec des détails et des mots clés qui vous identifient et déterminent vos forces.
  • Ajoutez des liens vers des informations supplémentaires, ajoutez des photos pertinentes ou une présentation mettant en évidence un projet.

Un profil complet augmentera votre visibilité dans les résultats de recherche. L’exhaustivité du profil est le critère clé pour déterminer votre position dans le résultat des recherches LinkedIn.

Important : Votre profil est visible sur le Web. Les recherches sur LinkedIn apparaissent également dans les résultats de recherche Google.

3. Rédiger un résumé bref et informatif

Avant tout « Remplir la section Résumé ou Summary ». De nombreux profils vont directement dans la section de l’expérience. Il n’y a pas d’introduction, pas d’accueil, pas de présentation.

Votre profil LinkedIn n’est pas un CV en ligne.

Dans la vie de tous les jours, la moindre des choses est de dire bonjour. Vous avez probablement quelques mots courts, clairs et simples dans votre tête pour expliquer qui vous êtes.

Utilisez le résumé pour faire l’introduction que vous feriez lors d’une rencontre avec quelqu’un pour la première fois.

  • Votre résumé est votre « elevator pitch » sous forme écrite.
  • Dites qui vous êtes, parlez de ce à quoi vous croyez, ou vous voulez être, ce que vous voulez faire…
  • Introduire quelques renseignements d’ordre personnel. Ne parlez pas de votre chat, mais ajoutez un élément personnel par rapport au dernier projet sur lequel vous avez travaillé – votre contribution.
  • Faites référence à votre expérience pour expliquer pourquoi vous faites ce que vous faites aujourd’hui.
  • Parlez de ce qui vous intéresse, de ce qui vous passionne.

4. Laissez tomber le jargon

Il n’y a pas de honte à parler une langue que tout le monde comprend. Vous ne serez pas ridicule en supprimant une terminologie trop technique ou un vocabulaire spécialisé.

Le jargon crée des obstacles à la compréhension et à l’élargissement de votre réseau.

Utilisez des termes simples pour ceux qui ne sont pas dans votre secteur. Évitez certains de ces mots sur-utilisés :

  • Expert – Selon qui ? N’est-ce pas aux autres de dire cela à votre sujet ? Le mot « spécialiste » peut être une meilleure alternative.
  • Créatif – Tout le monde utilise ce mot. Il a perdu son impact. Une personne vraiment créative est un artiste ou un concepteur, pas un avocat, un chef de projet ou un contrôleur de gestion.
  • Motivé – Eh bien si vous ne l’êtes pas, qui voudrait faire des affaires avec vous ?

Laissez tomber le vocabulaire des consultants et les anglicismes tels que :

  • Levier, USP, KPI, synergies, changement de paradigme…

 

Voici donc quatre clés pour vous aider à démarrer. Il y a beaucoup plus à faire mais il est important de commencer par ceci. Sans un bon profil comme base, vos efforts dans le partage ou la publication de contenu et dans la construction de votre réseau ne vont pas porter leur fruits.

 

 

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Découvrez comment exploiter les médias sociaux professionnels ici.

Cet article est également publié sur LinkedIn 

You write “good” English but does everyone understand you?

English is the main language on the web but there are twice as many non-native speakers in the world as native English speakers.

If you are communicating in English to an audience beyond the borders of your own country you’ll need to think twice about what sort of English to use. And it is not just the choice of words; it is the cultural references that you’ll need to pay particular attention to.

There is a great variety in the English spoken and understood by first-language English speakers.

If you write like an American with references to “out of left field” and “Band-Aid solutions” you might get your idea across, as long as your readers are regular viewers of US sitcoms. But use terms such as “sophomore” and you will probably start to lose a lot of your audience who will not really get what you are talking about.

Similarly, Brits need to understand that English does not belong to them any more, and that a country producing a small percentage of the world’s English speakers can no longer expect others to refer to the UK version of the Oxford English Dictionary to check what is “right”.

Across Europe thousands of meetings take place every day in English with no native speakers present. The French, German, Poles and Spaniards communicate successfully and may even use words that no one born and bred and educated in the UK or North America would fully comprehend. In fact many successful meetings or conference calls of this kind work perfectly well until an English native speaker joins the discussion. The obligation is then to speak English-English rather then Euro-English and the whole equilibrium of the discussion shifts.

So you need to really take your time and reflect when you are trying to get your message across to an international audience on the web, or elsewhere. If you are trying to do it in 140 characters it can be even more of challenge. Use the version of English that you use on a day-to-day basis and a significant part of your audience may not fully understand.

What examples do you have of localised-English (or should I say localized?) not working when you have been communicating internationally?

“For every 100 internet pages in English there are less than 10 in Spanish or French” (1)

Usage of content languages for websiteshttp://w3techs.com/technologies/overview/content_language/all

(1) Twelve years of measuring linguistic diversity in the Internet: balance and perspectives – Unescohttp://unesdoc.unesco.org/images/0018/001870/187016e.pdf

Infographic: © Paul Raine 2012 http://infographiclist.com/2012/03/26/english-the-world-language-infographic/

 

Also published at https://www.linkedin.com/pulse/you-write-good-english-does-everyone-understand-robin-young 

 

 

La référence en médias sociaux B2B

General Electric (GE) est la référence en médias sociaux B2B. L’entreprise a développé une stratégie de marketing social puissant au cours des cinq dernières années et est aujourd’hui présente à travers une grande variété de canaux sociaux.

Ceci a été accompagné par une stratégie de marketing de contenu dont l’objectif principal est de rendre ses produits B2B (tels que les moteurs à réaction, les turbines et les locomotives) intéressants à un public plus large public.

En publiant ce contenu intéressant sur les plates-formes de médias sociaux souvent considérés comme étant réservé à des produits de consommation, GE a obtenu des résultats surprenants. Les internautes trouvent les images et les histoires derrière ces produits B2B intéressants et veulent montrer aux autres combien ils sont passionnants. Ils deviennent de véritables ambassadeurs de la marque.

Découvrir notre Storify pour en savoir un peu plus.

https://storify.com/FirstPointMktg/b2b-social-media.html

 

 

Les patrons et les réseaux sociaux

Twitter est sans doute le meilleur réseau social permettant aux patrons de partager leurs idées avec le reste du monde, créer leur personnalité sur la toile et établir leur e-réputation.

La plupart des responsables de haut niveau ont bien compris que les médias sociaux sont désormais un élément essentiel de la stratégie de communication et de relations publiques d’une entreprise. Ils y voient une opportunité pour leur marque de faire partie des discussions en ligne et des avantages que cela peut leur apporter. Si les acteurs des secteurs étroitement liés au marché de consommation ou aux médias tirent évidemment leur épingle du jeu, les entreprises moins mises en avant n’en sont pas si convaincues.

En revanche, les dirigeants se révèlent moins enthousiastes dès qu’il est question d’impliquer leur propre réputation et « image de marque » sur la toile. Certains font pourtant figures d’exemple, comme @richardbranson qui incarne la marque Virgin, @elonmusk  pour Tesla et @marissamayer chez Yahoo!. Mais ces trois « dirigeants sociaux » (de l’anglais Social CEO) restent avant tout eux-mêmes. Leurs tweets n’établissent pas simplement un lien avec l’entreprise qu’ils dirigent, ils représentent également un moyen d’expression ouvert, à travers lequel chacun peut partager son opinion et asseoir sa personnalité propre.

Un grand nombre de facteurs sont à prendre en compte pour inciter certains patrons à suivre la même voie. Pour d’autres, il est peut-être plus judicieux de s’abstenir encore quelque temps….

Faisons un point sur votre situation.

5 raisons pour encourager les dirigeants à être présents sur les réseaux sociaux

Un patron social est plus accessible – que ce soit au sein même de son entreprise, de son secteur ou du monde entier. Les gens aiment à penser qu’ils peuvent interagir avec les plus hauts placés ou, tout du moins, voir que d’autres le font. L’image du dirigeant en est rehaussée : il est perçu comme un bon communicant, ouvert et innovant, et une source d’inspiration.

Un patron social est plus moderne. Les collaborateurs et employés sont contents de voir que leur dirigeant joue un rôle dans l’ère du numérique. Autrefois considérés comme des gadgets, les réseaux sociaux sont désormais une activité à part entière pouvant générer des résultats concrets. Personne ne veut voir son entreprise à la traîne parce qu’elle n’utilise pas les mêmes outils que les autres.

Un patron social est plus réactif. Les commentaires et rumeurs peuvent être traités en un instant, sans procédure complexe ni communiqué de presse ou conférence « officielle ». Loin d’avoir remplacé la machinerie des relations presse, Twitter et les autres réseaux sociaux donnent toutefois l’occasion de désamorcer une rumeur avant qu’elle n’aboutisse à une crise. Une présence stable sur Twitter est un vecteur social utile pour réagir aux événements lorsque c’est nécessaire.

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Un patron social est un leader. Twitter est un excellent moyen de témoigner de son expertise et de sa capacité à diriger. La classe dirigeante est généralement dotée de ces deux qualités, sans lesquelles elle n’aurait pas accédé à de tels postes. Cette valeur peut toutefois être cachée ou révélée à un cercle restreint de personnes : l’exposer au plus grand nombre est une opportunité à ne pas rater.

Un patron social renforce la stratégie de communication de son entreprise, sous réserve que les deux stratégies soient harmonisées.

Comment réussir ?

La plupart des dirigeants sont doués pour entretenir leur réseau ou échanger avec leurs employés. Il est primordial qu’ils sachent faire de même sur les réseaux sociaux. Partager leurs impressions, suggérer une nouvelle idée, reconnaître l’engagement de l’un des membres dans un projet d’équipe… Il est question, pour eux, de devenir un acteur social.

Pour être véritablement efficace, il faut :

  • témoigner d’un intérêt et d’un engagement personnel dans le fait de devenir un acteur social, visible ;
  • être capable d’exprimer ses opinions de façon claire et succincte ;
  • vouloir partager des idées stimulantes qui encouragent les autres à partager à leur tour.

Mais, avant toute chose, il est essentiel de définir une stratégie précise. Lancer sa propre « image de marque » n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît.

N’oubliez jamais votre stratégie de fond

Prenez le temps de vous poser quelques questions préalables :

  • Quel est mon objectif de communication à travers les medias sociaux ?
  • Quel public influencer ? Sur quels sujets ?
  • Quelles communautés sont ma cible directe ? Quelles sont les autres communautés que je veux toucher ?

La réponse à ces questions, qui ne sont que des exemples parmi d’autres, dépendra de la taille de l’entreprise. Le dirigeant d’une multinationale avec des dizaines de milliers de collaborateurs n’adoptera pas la même position que le patron d’une PME, de même qu’un entrepreneur indépendant développera une approche singulière.

Les qualités clés d’un brillant Social CEO

Pour devenir un acteur social, un patron doit se montrer enthousiaste et participer activement au réseau. Nul besoin de publier un tweet à la minute, sauf si c’est une volonté de sa part et une décision réfléchie. La fréquence importe peu ; l’essentiel est que l’interlocuteur s’engage personnellement et écrive ses propres messages, au moins partiellement. Sans cette implication de sa part, ses tweets paraîtront artificiels, et ils le seront.

En conclusion, voici la liste des qualités du parfait « patron 2.0 » :

  • Excellent jugement
  • Flegme et diplomatie
  • Connaissance des dernières tendances
  • Source d’idées stimulantes et novatrices
  • Fidèle reflet de sa personnalité dans la vie
  • Capacité à s’exprimer dans un langage simple et direct
  • Compréhension du mode de fonctionnement des médias sociaux
  • Capacité à écouter et s’intéresser à ce que les autres ont à partager

Il y aurait encore beaucoup à dire, notamment sur LinkedIn et les blogs, mais gardons cela pour un prochain article.

Qu’en pensez-vous désormais : prêt à vous lancer sur les réseaux sociaux ?

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Vous dirigez une entreprise ? Vous pensez que les médias sociaux pourraient vous être utiles ?

Vous êtes conseiller auprès de la classe dirigeante ? Vous pensez que votre patron peut tirer parti des réseaux sociaux ? Vous estimez plutôt que les médias sociaux pour les entreprises doivent être gérés uniquement par des chargés de relations presse ?

Cet article est également disponible sur Linkedin http://linkd.in/1Ocj9XG

 

Image: lesechos.fr

55 % de tous les sites internet sont rédigés en anglais. Et le vôtre ? Et la qualité de l’anglais ?

Même si la plupart de vos communications se font en anglais, il est essentiel d’adopter un langage adéquat, lisible et compréhensible par tous, d’autant que dans de nombreuses entreprises, les destinataires du message possèdent une langue maternelle différente de l’anglais, si ce n’est plusieurs.

Ce public n’interprétera pas la langue anglaise de la même façon qu’un Anglais ou un Américain. Il vous appartient alors d’employer un anglais « international » qui puisse répondre à vos attentes.

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Même si la plupart de vos communications se font en anglais, il est essentiel d’adopter un langage adéquat, lisible et compréhensible par tous.

 

 

 

Connecting with a new audience

A transport company with experience in operating bus networks won a new contract to operate an express metro line in the heart of a European capital. Operating the new metro line represented a significant step up in terms of the level of service expected from passengers as well as from the general population and local administration. There were also new contractual requirements to measure passenger satisfaction and achieve targets to avoid financial penalties.

 

The bus operations had grown “organically” over time and were organized in a relatively unstructured manner with little or no clearly defined plans. A new, more structured approach was required.

 

The objective we agreed on was:

From launch day onwards staff should be in a position to proactively understand the passengers’ needs, this would represent a new customer-centered company approach.

 

How did we achieve that together?

 

Before it could start developing its detailed operational planning, ticketing and pricing strategy, passenger information plan and customer service recruitment and training, the company needed to clearly understand what its passengers wanted.

We worked with them to guide them and assist them:

  • Pulling together the available data and research to identify key demographics and current and expected future travel habits
  • Carrying out specific market research to understand passenger expectations and other factors key to providing the best possible level of service
  • Identifying the major passenger segments to tailor a target passenger experience for each
  • Summarizing the key actions required so that each department could contribute to deliver the required level of service by developing their individual operational plans.

Finally, we helped them to prepare the promotional material and advertising programs to promote the service and highlight its advantages in competition with alternative methods of transport.


What were the keys to success?

  • A management desire to put the customer at the heart of the business’ processes and so rely heavily on the recommendations of the marketing study as a reflection of the passengers’ needs
  • Detailed analysis and research to understand the environment
  • A structured marketing plan piloted by a team that understood both the methodology and the overall business objectives